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Ce vétéran de guerre a été choqué quand il découvre pourquoi il a été arrêté par la police

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Ami Ciccone

, updated on

June 17, 2022

Lorsqu’on est au volant d’une voiture, on s’efforce toujours d’être prudent, de respecter le code et de se concentrer au maximum. Ce sont les premiers comportements que devraient avoir un bon conducteur. Cependant, on n’échappe jamais à un contrôle routier, qui même en étant dans la légalité, nous stresse toujours un peu.

La pression monte d’un cran lorsqu’on est suivi par une voiture de police avec les gyrophares allumés nous demandant de nous mettre sur le côté et d’arrêter la voiture. On ne sait jamais à quoi s’attendre dans ces moments. On se demande même si on n’a pas respecter un feu rouge ou si on a dépassé la vitesse limite. Pourtant, il semble que l’on a conduit sans outrepasser aucune règle sauf faute d’inattention.

William Jazwinski a vécu cette situation ce matin-là. Ce jour-là, il a décidé de prendre l’air et de déstresser quelques heures au volant de sa voiture. Après quelques kilomètres, le conducteur s’est rendu compte qu’une voiture de police le suivait. L’officier lui ordonna de descendre sur le côté et de couper le moteur. William obéissait tout en s’interrogeant sur la raison de cette interpellation.

Il ne savait pas ce qu’il avait fait de mal

Une fois le moteur coupé, William se questionnait : qu’ai-je fait de mal ? Etait-ce à cause d’une infraction qu’il a inconsciemment commise ? L’officier procédait-il à un simple contrôle ? Il ne savait pas du tout à quoi s’attendre mais il était de bonne foi et comptait coopérer quoiqu’il arrive.

William était sur le chemin du retour, il a fini sa petite balade en voiture et a pu se vider l’esprit. En y repensant, William était sûr qu’il n’a rien fait de mal alors quelle était la raison de cette arrestation ? Plus il cherchait la raison, plus il stressait car rien ne lui venait à l’esprit.

Le fait que l’officier l’ai demandé de s’arrêtait étonnait beaucoup le conducteur. Il commençait même à angoisser car cela ne présageait rien de bon. En tout cas, il était persuadé qu’il allait avoir des ennuis dès l’instant où il a aperçu la voiture de police et ses gyrophares.

Une histoire loin d’être banale

Tout le monde est passé par là. Être suivi et arrêté par un officier de police n’est pas une situation aisée. Au contraire, cela rend nerveux, on perd parfois les moyens et on se dit tout de suite qu’on va avoir des problèmes bien qu’on pense qu’on n’ait rien fait outrepassant le code de la route.

Ce n’était pas le cas de Wlliam Jazwinski. Bien que doutant un peu de lui, il était convaincu, il n’a rien à se reprocher sur sa conduite et ses papiers sont bien en règle. Il n’y avait pas de raison pour qu’il prenne une amende ou pour que l’officier le verbalise.
Willliam était loin de se douter que l’officier l’arrêtait pour une toute autre raison.

Cela n’avait rien à voir avec la voiture, ni la conduite et encore moins les papiers de la voiture. William était loin d’imaginer qu’il a été arrêté par l’officier pour cette raison, il n’a pas pu se préparer pour cette situation.

Il n’avait pas d’autre choix que de s’arrêter sur le bas-côté

William avait prévu passer un peu de temps seul pour prendre du recul. Au volant de sa voiture, il pensait à beaucoup de chose, à sa femme, à sa fille et à vie de famille en général. Cela l’apaisait beaucoup. Il les aimait, cela ne faisait aucun doute.

Perdu dans ses pensées, William a failli ne pas remarquer la voiture de police qui le suivait. Il ne savait pas à quel moment l’officier a commencé à le suivre. A travers son rétroviseur, il voit la voiture, gyrophares allumé, lui signifiant de se mettre sur la bas-côté.

Conscient qu’il n’a rien à se reprocher, William accepte sans hésiter à se garer. Ses feux fonctionnaient, il n’a pas dépassé la vitesse limite, un gros soulagement envahit son corps. Dans tout les cas, il n’avait pas le choix, le refus d’obtempérer à une interpellation aggraverait son cas alors qu’il n’a visiblement commis aucune infraction.

Il était pris d’angoisse mais tentait de se rassurer

William n’était du genre à être casse-cou. Il était toujours prudent sur la route et prenait soin de vérifier la mécanique de sa voiture pour éviter les accidents sur la route. Il était très strict sur ses points et ne laisse rien au hasard.

D’ailleurs, depuis qu’il a eu son permis, il n’a comptabilisé aucune infraction, aucune contravention et aucun accident. Il était un bon conducteur et ne s’est jamais pris au jeu de la vitesse sur les routes.

Alors pourquoi l’officier l’arrêtait-il ? Il commençait à angoisser mais tentait se rassurer au mieux. L’officier n’avait à dire quant à la voiture ni sur le conducteur. Lorsque l’officier descendit de son véhicule et se dirigea vers William qui a déjà coupé le moteur de sa voiture en attendant. Que se passait-il ? William n’en avait aucune idée. Il était curieux et impatient de savoir enfin ce qui justifiait cette arrestation inattendue.

Rien de tout ce qui allait se passer n’était normal

Lorsque William a commencé à descendre sur le bas-côté, le véhicule de la police qui le suivait en faisait de même. Les deux voitures se retrouvent sur le côté de la route. William ne sort pas de sa voiture, il attend, fébrile, que l’officier vienne faire ce qu’il a à faire.

L’officier descend de sa voiture. D’un lent mais sûr, il avance et se dirige directement vers la voiture de William. Ce dernier suivait les gestes du policier à travers son rétroviseur. Une fois arrivé au niveau du côté conducteur de la voiture de William, le policier regardait le tableau de bord.

William s’attendait ç ce que policier lui demande ses papier et de les contrôler. Il avait hâte d’en finir et de reprendre le chemin pour rentrer tranquillement chez lui. L’officier se contenta de jeter un coup d’œil au tableau de bord sans dire un mot.

Le véhicule de police l’avait suivi pendant plusieurs minutes avant de lui faire signe

William ne s’est pas tout de suite rendu compte qu’une voiture de police le suivait. Il était absorbé pas ses pensées et avait la tête dans les nuages. Après tout, il était sorti pour se vider un peu l’esprit. Il ne pensait pas du tout qu’une telle chose lui arriverait.

Pourtant, l’officier suivait la voiture de William depuis quelques temps. Au bout d’un moment, il a commencé à allumer les clignotants pour faire signe à William. Ce dernier n’a pas remarqué les signaux et a continué à roule en toute quiétude.

Voyant que William ne réagissait pas au bout d’une minute, le policier a activé les gyrophares pour l’alerter de sa présence. C’est uniquement à ce moment que William a eu le réflexe de regarder dans son rétroviseur. Il avait compris qu’il fallait qu’il obtempère et qu’il devait se mettre sur le bas-côté bien qu’il ne savait pas trop pourquoi on l’arrêtait.

Ce qui allait se passer était inimaginable

William stressait beaucoup. Jusque là, il était resté calme et tentait tant bien que mal à se rassurer. Après tout, il n’a commis aucune infraction. Du moins, il n’a rien fait de mal consciemment. Il ne comprenait pas ce qu’il se passait.

Lorsque l’officier se dirigea vers sa direction, le cœur de William battait à mille à l’heure. Le peu d’assurance qu’il avait s’estompait au fur et à mesure que le policier s’approchait. Il réalisait qu’il allait avoir des problèmes sans savoir quelle serait la raison.

William pris une grande respiration. Il se remémorait le code de la route, il tentait de se souvenir les lois, il ne trouvait rien qu’on puisse lui reprocher. Il n’y avait aucune raison pour le verbaliser. Il ne devrait pas être sanctionné, il ne s’agit que d’un contrôle de routine se dit-il pour se calmer.

William se devait d’être calme et patient

William doutait, avait-il enfreint une loi ? Avait-il fait sans s’en rendre compte un excès de vitesse ? Non, il a beau cherché, rien ne semblait le culpabiliser, rien ne pouvait lui être reproché. Il envisageait toutes les possibilités sans trouver une justification raisonnable pour que l’officier en vienne à le verbaliser.

Il tentait de comprendre l’officier. Cette situation le laissait perplexe, il ne savait pas à quoi s’attendre. Il était pris au dépourvu et ne savait pas comment réagir à cette situation ni quoi penser de la suite des évènements. Tout ce qu’il pouvait faire c’est d’attendre que l’officier lui explique tout.

Il était là, assis, nerveux, patient et impuissant face à cette situation. Il ne pouvait rien faire d’autre. Il regardait son rétroviseur pour voir l’officier qui s’approchait. De l’extérieur, il paraissait calme mais intérieurement, il sentait son pouls qui accélérait de plus en plus.

L’officier de police jouait avec ses nerfs

Bien que prenant sur lui, l’attente semblait interminable pour William. L’officier mettait une éternité à venir à lui. Il mettait sa patience à rude épreuve. Ce fut les minutes les plus longues de sa vie se dit-il tout en gardant un œil sur son rétroviseur pour voir l’officier.

Il joue aves ses nerfs. Pourquoi le policier mettait autant de temps à parcourir une si petite distance ? Peut-être que ce n’est pas le cas et que William pensait que l’officier faisait exprès alors que c’est lui qui était trop impatient et nerveux.

Tout cela n’avait aucune raison d’être. A ce qu’il s’en souvienne, il n’avait aucun actif avec la police, il n’a jamais commis d’acte répréhensible, il a toujours été droit dans ses bottes et n’a jamais eu affaire avec la police. Alors pourquoi maintenant ? Pourquoi aujourd’hui ? Que lui reproche-t-on?

William avait perdu la notion du temps

C’est ce qu’il semblait être, le temps s’est arrêté, du moins, il passait très lentement. Les secondes paraissaient devenir de longues minutes. Voilà pourquoi l’officier mettait tant de temps à revenir et que l’attente devenait de plus en plus insoutenable.

Tout le monde aurait réagit de la même façon ? Le stress, la nervosité, l’incompréhension et la peur ralentissait le temps. Cela mettait la patience de William à rude épreuve. Il pouvait lâcher prise à tout moment et perdre ses moyens tellement sa patience était mise à rude épreuve.

Pourtant, il devait garder son sang-froid. Après tout, il n’y a pas de raison réelle d’avoir peur. Il était en règle et ne comptabilisait aucune altercation avec la police auparavant. Ce n’est pas aujourd’hui que cela changera. En attendant, le temps semble se figer, l’officier tarde à venir et William a de plus en plus de mal à se contenir. Il voulait enfin comprendre pourquoi se retrouvait-il dans cette situation.

Quel était le problème ?

Après une interminable attente, l’officier était enfin arrivé près de sa vitre. William allait enfin avoir une explication logique et rationnelle à cette sitation car il a beau chercher et ressasser la situation de haut en bas, il ne trouve rien. Le calvaire allait bientôt prendre fin.

William, d’une main hésitante fait descendre sa vitre sous les ordres de l’officier qui se trouve maintenant à sa fenêtre. Une fois la vitre baissé, l’officier a commencé par saluer le conducteur visiblement un peu perdu. William répondit poliment.

William ne tient plus, il prend son courage à deux mains et ose poser la question fatidique : « Est-ce que j’ai dépassé la vitesse limite ? William était-il en infraction devant la loi sans qu’il n’en ait pris conscience ? Il avait hâte de mettre fin à se stress, à ce calvaire qui semblait durer des heures. Il attendait la réponse de l’officier.

Il ne voulait pas envenimer la situation

William tenait à en finir le plus tôt possible. Verbalisé ou non, il voulait connaître le fin mot de l’histoire, régler le problème et rentrer chez lui. C’est tout ce qu’il demandait.
Malgré sa grande nervosité, William adoptait un comportement calme.

Il avait un ton posé et répondait poliment l’officier. Il s’adressait à lui avec le plus grand du respect pour ne pas aggraver son cas. Cas que jusqu’ici était incertain.

Mieux vaut coopérer, rester dans le respect et obtempérer, se dit William. Rien ne sert d’envenimer la situation. De plus, il ne savait même pas que lui voulait cet officier, il ne savait pas comment réagir ni comment se comporter. Il était plus sage de rester droit les bottes et à l’écoute pour en finir une bonne fois pour toute.

Il en est même arrivé à envisager qu’il s’agissait d’une blague

L’officier jouait avec ses nerfs. C’est l’impression qu’il a eu. L’officier de police prend vraiment son temps pour parler à William. Ce dernier voulait sérieusement en finir et avoir une explication à toute cette situation inattendue.

Bien que William était près à encaisser toute information donner la l’officier, celui-ci mis un temps fou à se justifier. Il ne semblait pas pressé d’en finir avec William et prend un malin plaisir à faire attendre sa victime. William semblait sur le point d’exploser.

Après tout, il n’a visiblement rien fait de mal. A la vue du manque d’enthousiasme de l’officier de police, William pensait même qu’il s’agissait d’une mauvaise blague. Il ne connaissait même pas l’officier alors pourquoi diable lui ferait-il une blague ? Cela n’avait aucun sens. Le policier ne dit aucun mot, il se contentait de fixer William puis son tableau de bord pour on ne sait quelle raison.

Il n’avait rien fait de mal

Quand l’officier de police daigne enfin répondre à William, le soulagement se mélangea à l’incompréhension. William n’a pas commis d’excès de vitesse comme il s’en doutait. « Il ne s’agit pas d’un excès de vitesse » dit sèchement l’officier.

Dans ce cas, pour quelle raison William se ferait-il verbaliser ? Il ne sait pas du tout ce qu’il a bien pu faire. En tout cas, il peut se féliciter de ne pas avoir dépassé la vitesse limite malgré le fait qu’il était perdu dans ses pensées. Même si c’était le cas, cela s’est fait inconsciemment.

L’officier comptait bien dresser une contravention contre William. Il n’arrivait pas à le croire, il n’arrivait pas à comprendre le motif logique de cette contravention. Se peut-il que l’officier avait des raisons personnelles qui justifiaient son acte ? Cela n’était pas possible, William ne le connaissait pas.

Sa verbalisation n’avait pas de fondement légal

L’agent avouait enfin à William qu’il ne s’est pas fait arrêté pour une raison légale. Il n’a commis aucun excès de vitesse, il a respecté les feux, son véhicule était en état et avait les papiers nécessaires. William n’a commis aucune infraction répréhensible pour mériter une verbalisation.

L’agent a avoué qu’il n’avait aucune raison légale justifiant cette arrestation. Dans ce cas, avait-il le droit d’arrêter William ? Avait-il aussi le droit d’utiliser les gyrophares alors que le prévenu n’avait pas commis d’infraction ? William restait bouche-bé et tentait de comprendre l’agent ?

Un grand silence s’est installé entre les deux protagonistes. William attendait la suite du début d’explication de l’officier lui a donné. L’agent quant à lui pris son temps pour justifier son acte et enfin dévoiler la raison pour laquelle tous deux se trouvent dans cette situation assez gênante.

Pourquoi l’avait-il arrêté alors ?

William était bel et bien tourmenté. Il se demandait pourquoi diable le policier l’avait fait arrêter sans raison valable. Effectivement, à sa connaissance, il n’avait commis aucun crime. Tout cela était injuste aux yeux de l’homme, et même aux yeux de la loi. Cette situation taraudait tellement l’esprit de William qu’il en perdit son sourire et sa bonne humeur.

Des tonnes de questions se bousculaient dans sa tête. Il essayait de trouver la lumière dans l’obscurité complète, car certainement, il devait y avoir une bonne explication. La police ne viendrait pas s’amuser à arrêter des civils innocents en pleine journée.

Mais alors, de quoi lui, William, serait-il coupable ? Peut-être pourrait-on envisager le fait que l’officier de police ne connaisse pas non plus la raison d’un tel acte grossier, aussi étrange que cette hypothèse puisse paraître.

La raison était pour le moins inattendue

Cela se voyait que William s’impatientait de plus en plus, jusqu’à s’énerver. Et cet état de nervosité était bien justifié d’ailleurs. Arrêté au beau milieu de la journée, sans raison apparente, voilà une bonne manière de lui gâcher son humeur.

Pour couronner le tout, le policier prenait bien son temps, laissant croître les angoisses et les tourments de William. Les questions continuaient sans cesse à envahir ses pensées.

Son cerveau bouillonnait, essayait de trouver la sortie du tunnel, le pourquoi d’un tel simulacre. Et ce policier qui ne se décidait pas à lui révéler quoi que ce soit sur ses actions. Au bout d’un certain temps qui lui sembla durer une éternité, ce dernier prit enfin la parole. Et au grand étonnement de William, ce qu’il lui dit était tout à fait hors de son imagination, pourtant parée à tout éventualité.

Il voulait simplement lui dire MERCI

Ce n’était pas à cause de sa conduite qu’il s’était fait verbaliser et mis sur le bas-côté de la route, ni à cause d’aucun autre crime qu’il aurait commis. William en fut soulagé.

Alors, quel est donc le dénouement de tout ceci, la source de toutes les inquiétudes de William ? L’officier de police lui expliqua qu’il l’avait impérativement demandé de s’arrêter tout simplement parce qu’il avait quelque chose d’important à lui dire.

Quelque chose de si important qu’il lui fallait agir durant l’exercice de son métier, au risque de faire croire à ce pauvre William qu’il avait commis quelque effraction envers la loi. En effet, l’agent de la sécurité publique était animé d’un profond sentiment de gratitude envers William. Il souhaitait ardemment le remercier pour son service, et c’était une bonne occasion pour lui de le faire.

Comment avait-il été au courant ?

William était totalement confus, tout se mélangeait dans ses pensées. Il ne comprenait plus rien à ce qui se passait. Même en y réfléchissant longuement, les événements semblaient dénués de toute logique.

Quel était donc l’objet de cet acte grandiose de remerciement qui nécessita même son arrestation hors de la circulation ? Mais ce qui attisait surtout la curiosité de William, c’était le fait que l’officier de police était au courant pour son service.

Il se demandait comment ce dernier avait pu obtenir une information si confidentielle sur sa vie. Ce fut d’ailleurs la première chose qui lui vint à l’esprit dès l’instant où le fonctionnaire évoqua son service. Et ce cher William n’était pas au bout de ses surprises. La discussion qui allait s’ensuivre lui dévoilera pas mal de choses qui intensifieront encore plus son état de perplexité.

William ne pensait pourtant pas le connaître

Comme toute personne normale devant pareille situation, William était cloué de stupéfaction. Comment se fait-il qu’une personne qu’il n’a jamais rencontrée de toute sa vie le connaisse autant ? Cela était tout à fait consternant. Non seulement le policier était au courant pour son service, mais il connaissait également de nombreux détails sur la vie privée de William.

Ce dernier n’en revenait pas. Son cerveau recommença à bouillonner, plein de questions se bousculèrent à nouveau dans sa tête. Il s’intéressa surtout à l’identité de son interlocuteur et réfléchit avec intensité.

Ni la profession ni le physique de ce dernier ne lui indiquèrent quoi que ce soit. Cette personne qu’il avait en face de lui était bel et bien un inconnu. Mais alors, comment expliquer tout ceci ? William envisagea l’hypothèse qu’ils s’étaient peut-être déjà rencontrés par le passé, mais qu’il l’aurait oublié.

Un autocollant sur son pare-chocs l’avait trahi

Tout en parlant, William ne cessa de cogiter sur ses questions restées sans réponses depuis tout à l’heure. Mais à un certain moment de la discussion, il trouva enfin la clé du mystère sur les agissements du policier.

Mystère qui, en fin de compte, était beaucoup plus simple qu’il n’en avait l’air. Le fonctionnaire avait pu savoir qu’il avait servi dans l’armée uniquement grâce à un autocollant de vétéran, dont il avait jusqu’ici complètement oublié l’existence.

Cet autocollant se trouvait sur le pare-chocs à l’arrière de sa voiture, de telle sorte que quiconque conduisait derrière lui pouvait le remarquer et en déduire alors qu’il avait par le passé servi au sein de l’armée. L’agent de circulation ne faisait pas exception à la règle. C’est donc ainsi qu’il a pu s’approprier des informations qui, selon William, devaient être confidentielles.

Un véritable symbole pour les vétérans

Le terme de vétéran est employé pour désigner les anciens combattants de l’armée, et William en fait partie. Très souvent, ces vétérans utilisent ce qu’on appelle des autocollants d’identification, afin qu’ils puissent se reconnaître entre eux et être reconnus, par la même occasion, par les non vétérans.

Les autocollants sont appliqués à l’arrière de leur véhicule, probablement pour une question de visibilité. Grâce à son autocollant, William avait l’habitude d’être klaxonné ou salué par les gens lorsqu’il circulait. Ces actions démontrent la reconnaissance qu’autrui porte à son égard, pour les bons services qu’il a rendu à son pays en s’engageant au sein de l’armée.

Toutefois, il ne s’était jamais retrouvé dans une situation semblable à celle-ci. Qu’un agent des forces de l’ordre l’arrête uniquement pour le remercier d’avoir servi dans l’armée, voilà bien une situation qui sort de l’ordinaire.

Les surprises ne faisaient que commencer

Un air soulagé empreignit le visage de William, car il comprit enfin de quoi il en retournait. Toutes les pièces du puzzle étaient en place et le mystère était bel et bien résolu.

Il répondit donc à l’officier en évoquant son identification grâce à l’autocollant et prit soin de le remercier convenablement pour sa gratitude. Il affirma également que ce fut un plaisir pour lui de servir son pays.

En temps normal, cette réplique devait mettre fin à la conversation, mais ce n’est pas du tout ce qui s’est passé. On aurait dit que le policier n’attendait que la réponse de William pour s’engager dans une longue et passionnante discussion entre un officier des forces de l’ordre et un ancien combattant des forces armées. William était loin de se douter qu’au lieu de se terminer, la conversation reprendrait de plus belle.

Le début d’un long échange

Pensant que la conversation touchait à sa fin, William envisagea de remonter la vitre de sa voiture pour ensuite mettre le moteur en marche et reprendre la route. Il n’allait effectivement pas passer sa journée à discuter avec un policier sur le bas-côté de la route. Mais ce dernier ne semblait pas être du même avis que lui.

Pour une certaine raison que William ne connaissait pas, l’agent ne voulait pas se résoudre à le laisser partir et le contraignit à poursuivre la conversation. Cette attitude l’étonna fort mais William n’avait guère le choix.

Il se devait d’accepter sans histoire car après tout, il s’agissait d’un officier des forces de l’ordre sous l’autorité duquel, lui et sa voiture, se trouvaient. D’ailleurs, William n’avait pas encore tout entendu. C’était comme si le policier avait préparé tout un discours dans le seul but de l’émouvoir.

Quelques questions subsistaient

Visiblement, l’officier de police n’avait pas encore le cœur à laisser William s’échapper. Peut-être était-il grandement passionné par les vétérans et l’armée, ou portait-il tout simplement un intérêt particulier pour William, on ne le sait pas très bien. Toujours est-il qu’il manifestait un enthousiasme exceptionnel à questionner ce dernier, tout comme un enfant devant le héros de sa série préférée.

L’agent avait tellement de questions qu’il semblait mener un interrogatoire, auquel William était bien évidemment obligé de répondre. La première question et peut-être la plus importante à ses yeux, concernait le positionnement de William à l’époque de son service.

Il la lui posa clairement, sans détour ni gêne occasionnée par une éventuelle indiscrétion. Cette information devrait par la suite lui permettre d’en savoir plus sur le service de William car il lui suffirait de se renseigner sur la division à laquelle celui-ci appartenait.

William était habité par un sentiment étrange

Quelque part au fond de lui, William le ressentait. La situation actuelle paraissait peu habituelle et donc trop étrange. L’interrogatoire auquel cet homme l’avait soumis n’affichait apparemment aucun caractère officiel ou législatif. D’un côté, le questionnement ne faisait aucunement partie des fonctions de son interlocuteur. Pour cause, il occupait le poste d’officier de police.

Quelle que soit la perspective, il garde la même remarque : son investigateur ne dégageait rien d’officieux. D’un autre côté, il ne semblait pas posséder les compétences nécessaires pour la tâche. En effet, le grade qu’il arborait ne reçoit en général aucune formation qui pourrait s’y affairer. Alors pourquoi donc posait-il autant de questions sur son service ?

En plus, son correspondant demandait des détails un peu trop ciblés. Son insistance n’a pas manqué d’alarmer le vétéran de guerre. L’agent montrait tellement d’assertivité que William commençait à fortement douter des intentions de ce dernier.

Des questions intrusives au sujet de son service

Malgré l’énorme malaise qui occupait ses pensées, il accepte néanmoins de répondre aux questions de manière honnête. De toute façon, cela faisait entièrement partie du passé. Il n’avait rien à perdre à parler un peu de lui-même à un inconnu. L’officier demande alors à William le rôle qu’il jouait au sein de l’armée.

Après un moment de réflexion, puis sans sourciller, il affirma qu’il se chargeait de conduire les véhicules poids lourds. Son interlocuteur acquiesce comme pour dire qu’il avait bien entendu. Puis, puisqu’ils conversaient de confidence à confidence, William a ajouté qui revenait tout juste de mission. La dernière avait emmené le vétéran au Moyen-Orient.

Leur discussion s’est poursuivie telle qu’elle et lentement, la langue de William commençait à se démêler. Il rechignait de moins en moins à répondre. Il enchainait même les informations. La conversation se réchauffait peu à peu.

La volonté de William était d’aller de l’avant

Sans que l’officier ait à demander, William lui confie qu’il faisait autrefois partie d’une équipe qui a combattu en Irak. Plus précisément, il a opéré à Fort Benning pendant 15 longs mois. Cela n’a pas manqué de surprendre son interlocuteur.

Le visage de William arborait un sourire empli de fierté pendant qu’il racontait ces faits. Cela se voyait qu’il ne regrettait rien. Cet acte pour défendre sa patrie en valait la chandelle. Toutefois, son regard perd un peu de son entrain et se met à afficher un ton calme et serein.

Il affirma alors que toute cette histoire faisait désormais partie du passé. Il n’aspirait maintenant plus qu’à une vie normale de civil. Il désirait surtout aller de l’avant. Voilà pourquoi il a été surpris de s’être fait interpeler par un agent de police. Ses souvenirs lui sont immédiatement remontés. Ces questions avaient ravivé d’anciennes émotions.

Rien de tout ça n’avait de sens

Après s’être rendu compte qu’il s’emportait un peu, William a ralenti la cadence. Il prit un brin de souffle et se calma. Il a alors remis le problème sur le plateau. Pourquoi le personnage posait-il autant de questions sur lui, et surtout, pourquoi les détails l’obsédaient-ils à ce point ?

Pour lui, les informations qu’il recherchait ne possédaient absolument ni queue ni tête. Il avait beau cogiter, il n’a trouvé aucune motivation plausible. La situation diffèrerait largement si les requêtes étaient restées plus génériques, mais là, les demandes semblaient beaucoup trop indiscrètes. Sans compter le côté privé, un officier de police ne devrait avoir aucune raison de s’intéresser de près ou de loin au service militaire d’un individu lambda.

Toutefois, l’agent policier offrit à William une explication qui va vite dissiper tous ces tourments. Cette dernière l’a même surpris au plus haut point.

Un objectif qui lui était propre

Sans s’en rendre compte, William avait déduit que la motivation du policier était toute simple. Il devait probablement désirer un semblant de compagnie. Pour cela, il avait apparemment préféré entamer une approche informelle. Sa curiosité venait surement du fait qu’il était intrigué par son parcours militaire et son déploiement en Irak.

Certes, l’officier s’intéressait de près à sa mission de 15 mois. De plus, il cherchait effectivement une personne avec qui converser. Cependant, son raisonnement ne s’est pas entièrement avéré. En effet, l’agent possédait des raisons d’ordre privé pour poser de telles questions. Bien sûr, il allait les dévoiler au cours de la discussion. C’était obligé, mais jusque là, William demeurait dans l’ignorance.

Le mystère sur les motivations de l’individu n’allait pas tarder à éclater au visage de William qui, de son côté, s’était déjà forgé son propre avis sur la question.

Son fils avait eu le même parcours

C’était au tour de l’officier de déballer son sac. En réponse à l’honnêteté de Willliam, ce dernier n’a pas lésiné sur les détails. Il a immédiatement attaqué le vif du sujet.

Selon ses termes, son fils avait lui aussi servi au même endroit, c’est-à-dire en Irak. Il l’avait déclaré de manière brève et directe. William avait alors cru déceler à ce moment les raisons qui ont poussé le policier à l’interpeler en chemin. Les questions sans réponse ont instantanément pris du sens. L’homme cherchait surement à faire la causette avec quelqu’un qui pourrait comprendre son fils. Par la même occasion, il espérait peut-être se reprocher un peu plus de ce dernier.

C’était tout à fait plausible. Beaucoup auraient imaginé cette solution. William lui-même s’étonnait de ne pas y avoir pensé plus tôt. Avec cette affirmation, tous ses doutes se sont envolés. La discussion pouvait enfin devenir plus intime.

William voyait les choses différemment

Dès que la glace avait été brisée, la conversation avait pris une tout autre direction. William, qui semblait jusqu’ici très méfiant, a commencé à s’ouvrir clairement.

Le policier voulait en réalité en apprendre plus sur les missions de son fils. Il l’aurait bien regardé lui-même sauf qu’il n’avait jamais intégré de bataillon en période de guerre. Il cherchait donc à combler le fossé qui le sépare de son fils bienaimé. En discutant avec William, il a pu voir en direct le monde que son fils avait vu avec ses yeux.

William de son côté avait enfin cerné le fond de la situation. Voilà pourquoi, il a volontairement raconté plus de détail sur son périple afin de fournir à ce père le maximum d’information.

William avait enfin compris ce qui se passait

Maintenant que tout semblait clair, William avait pu s’ouvrir un peu plus. Le doute, l’incertitude ou la peur, plus aucun d’eux n’avait d’emprise vu que son esprit était devenu limpide. Il comprenait parfaitement ce que l’officier avait sur le cœur.

Par le plus grand des hasards, il s’avère que William venait tout juste de surmonter avec brio son traumatisme d’après-guerre. Il a pour cela intégré un programme de rééducation psychologique dans lequel chacun devait exprimer ce qu’il ressentait et décrire les séquelles que lui ont laissées les batailles. Les blessures physiques et les troubles mentaux en font tous les deux partie. Il savait donc exactement les mots dont le père avait besoin, car il est sorti plus vite que les autres de ce système.

Ce dernier avait toutefois encore un secret pesant qu’il a oublié de dire au vétéran. Cela va malencontreusement bouleverser son comportement tout entier.

Son fils était malheureusement mort en Irak

L’homme avait omis d’ajouter que son fils qui était parti en combattre en Irak n’en est pas revenu. Cette révélation a jeté un coup de froid à l’entrain que William avait enfin su développer. Il avait en effet supposé comprendre le père, mais il se trompait lourdement.

Tout avait été dit. Cette fois, William avait reçu toutes les pièces du puzzle. Ce policier était en fait une autre victime de la guerre, bien qu’indirecte. William ne se doutait pas qu’en se levant du lit il passerait une journée pareille. Il était rempli à la fois de surprise, mais aussi de compassion. Comme tout soldat, il connait le sentiment de ceux qui ont perdu un être cher.

Le père en deuil ne cherchait en fin de compte qu’à discuter avec quelqu’un qui pouvait lui raconter ce que son fils a vu lors de ces derniers instants et nous pouvons dire que notre survivant a pu satisfaire sa curiosité.

William ne savait plus quoi dire

Le jeune soldat ne venait pas de ce pays pourtant, il est parti le servir et a perdu la vie au combat. Le père a affirmé que son fils était sorti pour défendre une patrie et n’a jamais repassé le seuil de la porte de leur maison.

Dévoiler cette information a été particulièrement éprouvant pour l’officier. William lui-même n’a pu retenir l’expression de tristesse sur son visage. Son cœur s’est resserré et sa compassion a pris le dessus. Malgré tout, il ne pouvait rien faire d’autre.

La seule chose qu’il pouvait faire était de lui offrir son soutien moral et une épaule pour pleurer. Réconforter un père en deuil n’était pas donné. La situation lui était encore nouvelle, car le programme qu’il a suivi servait à rééduquer des rescapés de guerre et non leur famille. Cela n’impliquait pas pour autant qu’il devait le laisser à son sort.

Il lui a présenté toutes ses condoléances

Le vétéran a beau ne pas cerner les sentiments du père en deuil, il était conscient de l’occasion opportune qui lui était offerte. Contrairement aux plus malchanceux, il a pu rentrer chez lui et reprendre une vie civile. C’est d’ailleurs ce à quoi il aspirait depuis sa dernière mission.

À l’instar de l’officier, plusieurs personnes n’ont pas pu revoir leurs proches partis au combat. Ces derniers ne pourront pas connaitre la joie que William a ressentie en retrouvant sa famille après son dur labeur. Il a pu par la même occasion aller de l’avant et faire table rase du passé. Cependant, quelque part au fond de lui, il savait que ça aurait très bien pu être son cas.

Il a donc fait comme tout le monde. Il lui a présenté ses condoléances. Il ne pouvait que partager sa peine et lui offrir le réconfort.

L’officier de police a soudain remarqué quelque chose

Le policier avait de nouveau sombré dans la dépression. Cependant, William ne savait que faire pour soutenir son correspondant. Il ne pouvait que présenter ses condoléances à ce dernier. Le seul réconfort qu’il a pu lui offrir était de lui confirmer qu’il était capable d’imaginer sa douleur.

Tant bien que mal, William a tenté de redonner du courage à l’officier grâce à des mots remplis de compassion. Il n’hésite pas non plus à lui déclarer la sensation de désolation qu’il éprouve envers la situation. En réponse à cette gentillesse, le cœur du policier s’est allégé. Il prit une bonne inspiration et regagna son calme. Il s’apprêtait à partir et laisser son interlocuteur reprendre ses activités.

Avant d’y aller, il lui présenta ses remerciements. Toutefois, son regard fut attiré par un objet en particulier qui se situait sur le tableau de bord.

Il savait ce que signifiait le drapeau plié sur le tableau de bord

Sur le tableau de bord de la voiture de William se trouvait un drapeau. C’était celui du pays américain. Juste au moment de quitter les lieux, ses yeux ont été attirés par un objet.

En temps normal, une simple bannière ne lui aurait pas infligé autant d’effet. Cependant, ce dernier avait une particularité. Il était plié d’une manière unique. L’agent a rapidement fait le lien avec la véritable situation de William. Alors qu’il était sur le point de s’en aller et de laisser son interlocuteur reprendre ses activités, il a été très intéressé par cet objet. Il désire par conséquent poursuivre la discussion avec ce rescapé de guerre pour vérifier si ledit drapeau possédait effectivement la signification qu’il était censé arborer.

En effet, il voulait en savoir plus sur le vétéran de guerre et sur la raison de cet emblème.

La manière de plier le drapeau n’était pas dénuée de sens

Dans le domaine de la guerre, le pays américain possède une coutume très répandue. Si un soldat venait à tomber au combat ou au cours de son service, ils recevaient des funérailles dignes de ce nom.

Son cercueil était recouvert d’un drapeau américain. Il constitue une marque de respect ultime. Il signifiait aussi que la nation tout entière lui offrait hommage. Au moment de l’enterrement, la bannière est retirée et pliée en triangle parfait. Les us veulent que le drapeau soit plié treize fois. Il est ensuite décerné à un être très proche du défunt. Ici, le même symbole était situé sur le tableau de bord de William. Chaque pli représente quelque chose de différent. À chaque symbole correspond un pays.

L’officier se demandait au fond de lui si le vétéran de guerre n’avait pas vécu une expérience similaire au sien.

Le drapeau a attiré son attention

L’agent de police n’a pu s’empêcher de croiser du regard le drapeau. Il était plié à la manière des soldats tombés au combat. Avec la plus grande prudence, il fit remarquer à William que l’objet lui avait tapé à l’œil. Il semblait cependant encore craindre de se tromper et d’offusquer son interlocuteur.

Comme à son habitude, la bannière de la nation américaine arborait un style de pliage en triangle parfait. Ce dernier était destiné à rendre hommage aux vaillants combattants qui ont rempli leur devoir jusqu’au bout. Mais l’intrigue de l’officier allait beaucoup plus loin que ça. Il vouait apparemment un intérêt qui frisait l’obsession pour le drapeau en question. Il le fixait en effet d’un regard insistant.

Pourquoi donc était-il si obnubilé par ce symbole ? Est-ce que cela avait un lien quelconque avec son défunt fils qui a disparu lors de la guerre en Irak?

Le drapeau a fait remonter des souvenirs à la surface

William est arrêté par un officier de police pour le contrôle des papiers de son véhicule. Pourtant, une chose qui se trouve sur le tableau de bord du jeune homme intrigue l’officier. Cette chose n’est autre qu’un drapeau américain qui a été soigneusement plié, mais qui est très voyant à cause de sa place, juste à travers le parebrise de la voiture. L’officier n’a pas pu ignorer ce détail qui représente un grand souvenir douloureux pour lui.

En effet, il a le même chez lui qui est devenu un symbole qui marquera sa vie à jamais. Mais qu’est ce que cela représente exactement? Ce drapeau lui avait été offert par l’armée américaine comme un symbole après qu’il a combattu pour le pays.

Cela devrait être une bonne chose sauf que pendant cette période, son fils a été tué sans qu’il fût présent à ce moment.

L’officier de police avait exactement le même

Après avoir vu le drapeau dans la voiture de William, l’officier n’a pas pu se retenir de faire une réflexion à propos de cet objet. « Nous avons le même drapeau chez nous », dit-il avec un visage triste à cause de ses souvenirs qui refont surface.

Avec un air très ému et malheureux, l’officier fixe William dans ses yeux en lui demandant une immense faveur qui le tient à cœur.

L’agent de police lui dit alors : « est-ce que vous pouvez me rendre un service ? » Même si cela semble un peu étrange que les forces de l’ordre demande un service à un simple citoyen, William ne pense pas à mal et répond sans hésiter une seconde : « oui, bien sûr ». Pourtant, ce qu’il s’apprête à entendre sera une grande surprise pour lui en le laissant sans voix.

William voulait juste profiter de son temps libre

Ce jour-là n’était pas un jour comme les autres pour William, car il s’apprête à profiter de son seul jour de conge sur toute la semaine. De ce fait, il s’est levé tôt afin d’avoir toute une journée pour se détendre et aérer l’esprit sachant qu’à partir du lendemain, la routine de la vie reprendra. Lors de son jour de congé, William a l’habitude de faire de longs trajets hors de la ville.

Aimant les voyages sur route, il possède un camion pour s’évader, il a l’habitude de faire ce petit rituel quand il veut oublier les problèmes quotidiens.

En partant de chez lui, le jeune homme n’imagine pas qu’il va se passer quelque chose d’inhabituel sur sa route. En effet, une rencontre inattendue changera son humeur, heureusement que cela n’est pas quelque chose de grave et tout s’est bien terminé.

Son programme de la journée avait été totalement chamboulé par l’officier de police

Comme la plupart des habitants de la ville, William a une journée chargée tous les jours à cause de son travail, mais également, les différents problèmes de la vie. Chaque personne a sa façon de lui de se ressourcer, mais pour Willam, le fait de partir loin de la ville et de ses commodités, en menant sa direction vers la campagne, ou la route est dégagée et le silence règne lui rend heureux et paisible.

De plus, la circulation est fluide, ce qui permet d’aérer l’esprit en conduisant et en regardant les beaux paysages. Tout seul dans son camion, William peut se ressourcer, se rafraichir les idées, mais en même temps, profiter de sa tranquillité.

Avec cette sensation de détente et de bienêtre, sans penser à rien d’autre, William remarque sur son rétroviseur un véhicule de police tout juste derrière son camion.

L’officier de police avait besoin que quelqu’un soit là pour lui

Une fois que le policier a posé sa question, William était très surpris de sa demande. Mais d’une part, il s’est senti soulager parce que sa demande n’a rien de compliqué. D’un autre côté, c’est autour de l’officier de police qui s’est mis à s’angoisser en attendant la réponse du jeune homme.

Sa question était simple : « est-ce que vous pouvez sortir de votre véhicule pour que je puisse vous prendre dans mes bras ? » Il l’a posée avec les yeux qui se défilaient de temps en temps comme s’il était timide.

Face à cette proposition, William ne savait pas quelle attitude devrait-il adopter, il était en même temps confus et ému de la situation.il s’est d’abord posé la question si c’est une blague, mais en voyant l’attitude du policier, il comprend que c’est vraiment quelqu’un qui a besoin de son attention.

William sentait qu’il était bouleversé

Cette situation mettait William dans une position inconfortable dont il ne sait pas vraiment comment réagir. En effet, les policiers sont connus pour donner des ordres et non pour demander des faveurs auprès des conducteurs sur la route. Personne ne peut imaginer une scène où un agent de police l’arrête puis lui demande de sortir du véhicule pour qu’il nous serre dans ses bras.

On peut dire que William a vécu cette expérience comme l’une des histoires le plus étranges, mais aussi le plus émouvant qu’il a rencontré dans sa vie. Cependant, il ne s’est pas moqué du policier, au contraire, il a senti que le policier était une personne bouleversée qui ne plaisantait pas et sa demande était très sérieuse.

On voyait au fond de ses yeux qu’il avait vraiment besoin de réconfort et que seul, William peut le lui donner.

Il ne pouvait pas décemment dire non

Être arrêté sur le bas-côté de la route par un officier de police pour qu’au final, il nous demande une chose aussi affectueuse et personnelle, quiconque se trouvant dans la même situation que William trouvera cela très étrange. Après avoir posé sa question, William a mis un peu de temps pour donner une réponse, car il ne se remettait pas encore de la surprise et de l’étonnement.

Pourtant, le policier n’a pas pu retenir ses larmes qui coulaient doucement tout au long de son visage. En voyant cela, William s’est rendu compte à quel point cet homme est submergé par une grande tristesse et avait vraiment besoin d’un grand réconfort.

Il n’a donc pas pris la demande à la légère et quand le policier lui a ouvert son cœur, William n’a pas pu refuser cette faveur si cela pouvait lui apaiser et qu’il a un cœur léger.

Tout s’explique par un simple fait : William lui fait penser à son fils

Avec les yeux fixés sur William et un air triste, le policier parle à cœur ouvert et a enfin expliqué la raison de cette demande si spéciale. Il a avoué que William lui fait énormément penser à son fils, qui était décédé en son absence, pendant qu’il partait défendre l’honneur de son pays.

Le fait de le voir lui a complètement bouleversé, car William et son fils possèdent plusieurs points communs qu’il ne pouvait pas ignorer, et si son fils était encore présent, il serait surement comme William. En voyant William, tous ses souvenirs ont refait surface, les bons comme les mauvais.

Le policier est attristé en pensant à ce qui est arrivé à son fils et a sa vie s’il était encore présent en ce moment, c’est la raison de ses larmes et de cette tristesse au plus profonde du policier.

Son souvenir est omniprésent

En réalité, le but de l’officier de police n’a jamais été de contrôler le véhicule de William, il a d’ailleurs avoué à William qu’il lui a suivi dès qu’il l’a vu de loin, car c’est comme s’il voyait son fils. « Tu me fais vraiment penser à mon fils, je croyais que tu étais lui et je t’ai suivi, car j’avais de l’espoir que je reverrai mon fils une dernière fois. » Lui a-t-il confié avec une lueur d’espoir dans les yeux ?

Face à cette révélation, William ne pouvait plus résister à la demande du policier. De plus, tout s’explique et en fin de compte, dans ce contexte-là, il était bien clair que la demande du policier était tout à fait compréhensible.

Même si le policier était en fonction, il ne pouvait pas empêcher ses émotions de prendre le dessus et de suivre William.

Une étreinte réconfortante

Étant également attristé par cette histoire, William n’a pas pu s’empêcher de verser ses larmes. Avec une goutte de larme au bout des yeux, William sort de la voiture avec une chose en tête, serrez le policier fort dans ses bras.

Une fois dans les bras l’un et l’autre, il lui a serré d’une étreinte réconfortante qui venait vraiment du plus profond de son cœur, car William était vraiment touché par l’histoire du policier. Même si cela n’a pas fait revenir le fils du policier, c’est comme si on lui enlève un grand poids sur les épaules.

On peut donc dire que cette marque d’affection a quand même porté ses fruits. Cette scène a fait réalise à William à quel point perdre un être cher est douloureux et il faut en profiter des gens qu’on aime tant qu’ils sont toujours à nos côtes.

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